Citations

L'ensemble des citations de Jérémy Ferrari ont été prises respectivement de différentes sources officielles ( articles de presse, radios, émissions télé, en interview, podcasts... ) Merci.


"Chaque date que je joue, je me dis que c’est un grain de sable que j’enlève dans le sablier qui découle le temps de vie de cette oeuvre ! C’est très beau, hein ?"
"L'humour est totalement infini, c'est ça qui est chouette aussi avec l'humour. L'humour a des liens avec tout, on peut faire de l'humour absolument sur tout."

"Personne ne m’a jamais donné autant d’amour dans ma vie que le public." 

 "Toute ma vie n’est régie que par ce métier, je fais vraiment que ça du matin au soir." 
"J’essaye toujours de surprendre et d’être dans la sincérité, une espèce de franchise, quelles qu’en soit les conséquences, que ça plaise ou non."
"On ne peut pas bâillonner les humoristes. L'humour, c'est le reflet de la liberté d'une société."

"Il y a toujours eu et il y aura toujours des mauvais humoristes, mais on ne peut pas tous les interdire pour autant. Ce serait céder à la médiocrité."

"J’ai développé très tôt une colère contre les aberrations de la société en termes d’injustices, de santé, d’emplois, etc., mais aussi une curiosité pour essayer d’en comprendre les rouages et les dénoncer."

"Avec le soutien du public, ça a été mon antidote. Mon spectacle parle de santé et le sport est assurément un bon médicament."
"Je sais m'adapter, gérer mon humour et le doser. Tout est une question de comprendre les choses."
"Moi je suis un humoriste un peu différent des autres, parce que je m'impose des thèmes dans mes spectacles."

"On s'amuse tellement à écrire avec Baptiste et Arnaud, que je sais qu'on va faire un joli show."

"Ma forme à moi d'art, c'est de faire rire, alors faire rire ça veut dire aller dans les extrêmes, ça veut dire être surprenant..."
"L'humour, même noir, est un art." 

"Je ne me fixe aucune limite. Même moi, je suis choqué en relisant mes écrits. L'important, c'est que ce soit drôle. Je ne m'interdis aucun sujet."

"J’ai beaucoup d’empathie pour la nouvelle génération de jeunes, qui est je crois plus ouverte d’esprit et tolérante que les précédentes."

"J'ai découvert Desproges et je me
suis dis : on peut faire de la scène en
étant odieux sur les planches !"

"Anesthésie Générale a été plus difficile encore à écrire. J’étais convaincu que parler de moi serait plus facile.
Un vrai péché d’orgueil et d’ego…"

"La découverte de l'Afrique m'a apporté humainement et professionnellement énormément de choses."

"Moi je veux faire rire les gens et emmerder les cons. À partir du moment où je peux gâcher la soirée d'un connard, et faire rire les autres, ça me va très bien !"

"L'humour noir permet de parler de tout, d'aller du plus grave au plus léger, le grave avec légèreté, le léger avec gravité. Je suis le chef d'orchestre des émotions des gens."

"Je ne pensais pas trouver autant de choses dans le domaine de la santé. C’est passionnant de chercher le mensonge. Je crois vraiment que je suis un emmerdeur."

“En humour noir, plus on force le trait, plus le propos devient absurde et plus les spectateurs peuvent en rire.”

"La Belgique ? J’aime ce pays, j’aime ce public. Ma grand-mère était belge. Mon grand-père a travaillé au journal Le Soir." 
"Je crois que la religion est très importante dans la vie, que l'on soit croyant ou non."

"C'est un spectacle de vengeance personnelle."

"Je vois que je prends les choses beaucoup plus à cœur [...] Tout est fort, Tout est trop fort. Chaque minute de ma vie est un déchirement ou une joie intense."

"Je ne m’intéresse pas à un thème en particulier. Je suis juste touché par toutes sortes d’injustices. Je n’ai pas de cause favorite."

"Mes spectacles marchaient plus ou moins mais les cachets ne me permettaient pas de vivre. Alors j’enchaînais les petits boulots à côté, comme des milliers d’autres jeunes adultes attendant que la réussite arrive."

“J’ai toujours besoin d’aller plus loin pour repousser les limites de la bien-pensance.” 

"Je connais la valeur de l'argent. La première chose que j'ai faite, c'est acheter une maison à mes parents."

"Je suis malade, j'ai un problème d’addiction. C'est une maladie neurologique reconnue, ce n’est pas ma faute. Je m'en suis sorti et j'en suis fier."

"Tout le monde peut avoir du talent."

"Que les gens se disent : on peut réussir en étant honnête. On peut gagner de l’argent sans niquer les autres. On peut faire sa place sans écraser les autres."
"J'ai toujours très peur de décevoir. Pour celui-ci (Anesthésie Générale), j'ai une pression particulière car je vais confier des choses intimes. C'est à la fois excitant et bouleversant."

"La surinformation est devenue une pénibilité pour les gens. Les gens n'en peuvent plus, ils ne savent plus qui écouter, qui croire." 

"Je fais de la provocation, c'est normal que des gens quittent la salle, sinon c'est raté."
"J’aime faire des spectacles à thème.
Cela permet d’avoir un propos original, et de pouvoir creuser un sujet à fond, de ne pas avoir un propos gratuit."
"Si je veux dénoncer, il faut que cela fasse marrer les gens." 
"Pour chaque sketch de ce spectacle, je me suis dit que je risquais ma carrière. Mais mon rôle, c'est de prendre les choses les plus horribles et de les rendre drôles."
"Il y a des tas d'humoristes qui naissent tous les jours. Il faut donc trouver la
manière dont on va apporter au public quelque chose de différent"
"Maintenant que je m’en suis sorti, [...] je sens que l’étape d’après est la sérénité, que je n’ai pas encore.”
"En fait, la provocation est ce qui me ressemble le plus et l’humour noir est, avec l’absurde, ce qui me colle le plus à la peau."

“Le jour où j’ai été diagnostiqué haut potentiel, atteint de troubles du déficit de l’attention, a été le plus beau jour de ma vie : je n’étais pas fou.” 

"J'ai tellement travaillé mon écriture que j'suis bien meilleur dans l'écriture maintenant. Donc un don ou un talent ou une aptitude c'est comme tout, avec le travail, ça augmente."
"Être frontal, c'est ma spécialité. Je faisait des vannes sur les victimes des attentats, trois mois après le Bataclan à Paris. Mais je sens comment il faut le dire et le faire.
Et jusqu'à présent, je ne me suis pas trompé"
"Il faut voir des psychiatres, des spécialistes. Ce sont eux qui m'ont sauvé. On ne dit pas assez aux gens que l'addiction est une maladie."
"Un mec qui n’a pas d’humour, vous ne
pourrez jamais lui apprendre à être drôle."
"Ne pas réussir à vivre de mon métier me faisait vraiment mal au cœur"

“Mon travail consiste à être vrai en concentrant un maximum d’informations pour que les spectateurs ne se sentent ni perdus, ni bêtes ou infantilisés.”

“Ma vie avec les autres nécessite beaucoup d’efforts et d’énergie chez moi."

"J’ai toujours aimé la langue française que j’ai toujours considérée comme une arme"

"Je ne fais que me mettre de nouveaux challenges et je me demande souvent pourquoi. En fait, essayer de se lancer de nouveaux défis, c’est se sentir en vie !"

"Je prends soin de moi. Si j’ai arrêté de me détruire, autant essayer de me préserver."
"L’humour est un travail d’orfèvre.
Le propos, le rythme, la phonétique sont importants. Il m’arrive de passer six ou sept jours sur une phrase alors que j’ai déjà tout le sketch."

"On doit repenser notre système de santé en mettant en avant le service de psychiatrie."

"Lorsqu'on choisit un thème qui est sensible, qui touche les gens dans leur quotidien, leur chair, il faut le faire avec du coeur, car c'est ce qui va faire toute la différence au ressenti."
"Du fait de mes troubles, je suis bien quand je travaille, mon esprit étant occupé à autre chose qu’à me torturer."

"Je ne pense pas que c'était mieux avant. De tout temps, il a fallu se battre pour imposer son ton et sa liberté d'expression." 

"Je ne peux pas plaire à tout le monde mais je ne m’attendais pas à avoir autant de succès."

"Mais j’ai besoin de ces gens qui ne m’aiment pas, sinon je n’existe pas. Je suis là pour provoquer..."

"L’humour, c’est également l’occupation de l’espace, l’apprentissage de la respiration, le placement du regard…"

"Je ne serai jamais guéri de l'alcoolisme. Je serai toujours alcoolique. C'est une maladie neurologique. L'addiction ne se guérit pas."

"Si les gens paient 40 € pour me voir, je veux qu’ils se disent qu’ils n’ont jamais été aussi émus ou qu’ils n’ont jamais autant ri.
Je leur donne toute mon énergie, toutes mes tripes pour leur faire passer un moment exceptionnel."

"J'ai toujours promis aux gens que si je sentais que je n'allais pas être objectif sur un sujet, je le traitais pas."
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